3- La technologie

❖ Il n'existe pas de réelle technologie à l'intérieur de Trad’ren. Malgré que nous sommes en l'an de grâce 2450, cette planète n’a jamais été réellement habitée par l’espèce humaine. Cela signifie que les prisonniers vivants sur Trad’ren doivent d'utiliser ce qui se trouve à porter de main pour pouvoir créer le nécessaire à leur survie.

Les hommes sont parvenus à installer l'eau quasi courante par le biais de la source tout près d'eux à l'intérieur des montagnes. Ce sont des bricoleurs et des inventeurs pour la plupart faisant de leur mieux pour améliorer les conditions de vie du clan. Ils sont également de bons pêcheurs et des chasseurs. De plus, ils sont parvenus à se fabriquer des bateaux pour pouvoir pêcher et subvenir à leurs besoins par le biais des produits trouvés à l'intérieur de l'océan. Ils ont appris à se servir des plantes disponibles sur Trad’ren. Certains sont de cette façon devenus des soigneurs, faisant des décoctions de plantes ou de matériel pour soigner les blessures ou les maladies les plus dangereuses. Ils sont également de fins connaisseurs de la faune de l'île. Ils ont également réussi à créer un semblant d’électricité par le biais de gros moulin en bois tout près de la citadelle. Toutes ces connaissances ils le doivent aux anciens hommes qui ont pris soin de leur laisser le nécessaire pour qu’ils puissent connaître ce qu’ils ont appris depuis le premier jour où des hommes ont été envoyés sur Trad’ren.

Les hommes de Trad’ren sont des personnes imaginatives et débrouillardes. Grâce à certains inventeurs, la planète a bien évolué depuis l’arrivée des premiers hommes. Mais pas seulement grâce aux inventeurs, mais aussi aux découvertes de toutes ces choses en provenance des divers satellites. La provenance de ces divers objets demeure encore inexpliquée, du moins les raisons le sont davantage que les origines.

Ceux qui ont le plus de mal sont les sauvages qui eux, ne possèdent pas toute la technologie dont bénéficient les habitants de la citadelle. Ils vivent plus dans le mode de vie primitif où le chacun-pour-soi est plus à la mode et où il faut aussi avoir un bon instinct de survie.